Le clandestin de John Grisham
Éditeur : Pocket
Parution VO : 2006
Parution VF : 2008
Traducteur : Patrick Berthon
Titre VO : The Broker
Nb de page : 399
Résumé : « Lobbyiste sans foi ni loi, Joel Backman a été condamné à vingt ans de prison pour avoir vendu à une puissance étrangère un superlogiciel capable de contrôler un ensemble de satellites espions. Six ans plus tard, à sa grande surprise, il est gracié par le président des Etats-Unis sortant et exfiltré dans une
jolie ville d'Italie. Sous une nouvelle identité, le Clandestin découvre l'art subtil d'être heureux. Il est libre... mais transformé en appât. Car, si la CIA a
obtenu sa grâce, c'est pour mieux savoir qui va le tuer : les Israéliens ? les Saoudiens ? les Chinois ? La chasse à l'Homme a commencé... »
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Le clandestin c'est l'histoire de Joel Backman qui est gracié et déporté en Italie, comme le dit le résumé. Celui-ci deviendra Marco Lazerri...
Au débart, je n'embarquais pas vraiment dans l'histoire, mais lorsque j'ai vu le nom Luigi, va savoir pourquoi, j'étais emballée. Parlant de Luigi , il est le «mentor» de Joel. Il l'aide à s'habituer à l'Italie en lui trouvant des professeurs ou un appartement, ce genre de truc. quoi. Donc, Luigi accompagne Marco dans sa découverte de l'art subtil d'être heureux pour reprendre les mots de l'éditeur.
Il vivait dans une petite ville quand il dût la quitter précipitamment. Sa nouvelle destination était Bologne, endroit où il fera de belles rencontres (enfin). J'avais espérer que ça apporte un peu d'émotion, d'amour, mais je n'ai pas vraiment été servie.
Au final, je dirais que ce livre est un peu froid. Je ne me souviens même pas avoir souri au moins une fois en le lisant. Je ne me rapelle pas plus avoir été stressée par ce «thriller». En plus, les chapitres parlant de politique, utilisé pour ne pas qu'on oublie que Marco est en danger, m'ont tout simplement ennuyé. Tant qu'à être dans les reproches, je n'ai non plus apprécié les conversations en italien parfois non-traduites. Aussi, Le clandestin tire en longueur ; l'action n'arrive qu'à 70 pages de la fin.
Ce n'est qu'un avis personnel, je ne veux pas insinuer qu'il est nulle. Je dis plutôt qu'il y a de meilleures lectures que ça.